Participation du ministre à la plénière de haut niveau ministériel

 

 

Madrid, le 11 décembre 2019 – Le Ministre des Eaux, des Forêts, de la Mer, de l’Environnement, chargé du Plan Climat, des Objectifs de Développement Durable et du Plan d’Affectation des Terres, Prof. Lee White, a pris part ce jour à la plénière de haut niveau du segment ministériel de la 25e Conférence des Parties (COP25) à la Convention Cadre des Nations Unies sur les Changements Climatiques (CCNUCC).

La Concertation ministérielle francophone placée sous le thème : « Favoriser des programmes et projets transformateurs et relever les défis du rehaussement de l’ambition des CDNs » avait pour objectif d’ouvrir un débat entre les Ministres / Chefs des délégations francophones, et autres représentants des catégories d’acteurs au développement. Elle a permis aux délégations des organisations internationales et régionales, à la société civile et aux groupes régionaux de faire entendre leurs points de vue.

Prenant la parole au nom du Gabon, le Pr Lee White a saisi l’occasion de rappeler le rôle de l’Afrique (qui dispose du second poumons forestier) dans cette lutte pour les changements climatiques. L’Accord de Paris est à ce jour, ratifié à plus de 90 % par les pays africains.

Par ailleurs, le Pr Lee White est également revenu sur les efforts consentis par la Gabon sous l’impulsion du Président Ali BONGO ONDIMBA afin d’atteindre les objectifs de l’Accord de Paris. En effet, entre amélioration de ces infrastructures, de ses mécanismes de financements, le Gabon s’est également doté d’outils juridiques afin d’intensifier ses efforts en matière de changement climatiques. Conscient que la forêt représente 30% de la solution globale en matière de lutte pour les changements climatiques, le Gabon a fait le choix d’exploiter rationnellement sa forêt.

Le rendez-vous a été pris pour le Sommet de New-York 2020. L’événement qui verra la participation de divers acteurs entre hauts représentants de gouvernements, organisations internationales, de la société civile, du secteur privé, groupes de jeunes et peuples autochtones, reliera les aspirations ambitieuses pour l’an 2030.

 

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